À la demande du Mouvement de la paix nous avons été reçu à la préfecture Ille-et-Vilaine.
Nous avons dit notre opposition à une escalade guerrière en Syrie qui pourrait avoir des conséquences incalculables.
Tout en condamnant sans équivoque toute utilisation d’armes chimiques nous avons souhaité une enquête conduite par l’OIAC.
Nous avons réaffirmé notre volonté que soit respecté le droit international et en particulier la Charte des Nations Unies.
Il n’appartient pas à quelques Etats de la Planète de régler les questions de la Planète mais aux Nations unies et au conseil de sécurité de traiter cette question.
Nous avons développé les idées sur la nécessité d’une solution politique.
Nous avons aussi souligné que le non-respect par la France de ses engagements au titre du traité de non-prolifération nucléaire et particulièrement de son article 6 réduisait l’audience de la France au plan international. De même la politique du deux poids deux mesures empêche une solution politique pour une paix juste et durable au Moyen orient.
L’ARAC a rappelé que l’histoire a montré que tout peut parfois basculer vite dans des aventures guerrières aux conséquences tragiques.
La délégation était composée de Roland Nivet pour le Mouvement de la paix, de Georges Ploteau pour l’ARAC, et de Aurélien Guihot pour le Parti communiste français.
La Cgt et l’association France Palestine Solidarité nous avaient donné deux textes à remettre au préfet. Ce que nous avons fait.